15 Décembre 2024
* Des bonnes pensées : Nos pensées sont si nombreuses. Elles peuvent être positives ou négatives. Bien souvent, les pensées négatives semblent maintenir notre vie captive sans que nous nous en rendions compte. Le sujet des pensées est une sujet délicat qu’il est nécessaire de comprendre et d’étudier régulièrement. En effet, la qualité de notre vie dépend de comment nous pensons. Il y a un monde à l’intérieur de nous qui a besoin qu’on s’en occupe afin d’accéder à la vie que nous désirons. Nous avons de grandes chances de réussir dans tous les domaines de notre vie rien qu’en changeant nos pensées. C’est possible avec la force et le courage dont nous disposons tous les jours Il faut commencer petit, mais le faire tous les jours. Il est là le secret. La question que nous devons nous poser est : est-ce que j’en ai envie ? tous les jours.
* Des bonnes paroles : Il y a “ un temps pour se taire et un temps pour parler ”.
Un langage reflétant le bon goût et l’à-propos est indispensable à une saine communication et à la paix.
Bien communiquer ne signifie pas exprimer à chaud tout ce qu’on pense ou tout ce qu’on ressent, surtout si on est contrarié. Retenue et bon sens lorsque nous parlons. Accompagner sa parole de charme, se servir de sa langue pour guérir et non pour blesser. Nous devons avoir des paroles mesurées et aimables. Domptez vos émotions, puis prenez les mesures qui s’imposent pour régler le problème. Discutez-en gentiment avec l’intéressé à un moment opportun. Mais il n’est pas non plus judicieux de trop attendre
Souvenez-vous : “ Une réponse, lorsqu’elle est douce, détourne la fureur, mais une parole qui cause de la douleur fait monter la colère. Servons-nous de notre langue pour faire du bien, non du mal.
* Des bonnes actions : Un acte ou des actes de bonté ou de charité . Un acte altruiste démontrant de la bonne volonté et de la gentillesse.
Si vous faites une bonne action vous faites intentionnellement quelque chose de gentil ou d'utile : Elle aide toujours les gens et fait de bonnes actions. Une invitation à être indulgent, généreux, altruiste ?
Une invitation à mettre en place des petits gestes qui peuvent sembler banals, à poser de petites actions quotidiennes en vue d’amener du positif dans la vie d’une personne autour de nous de façon désintéressée…
Regarder autour de vous et voyez comment vous pourriez faciliter ou rendre plus agréable ou confortable la vie des personnes autour de vous. Et bien d’abord c’est gratifiant, cela nous apporte beaucoup de joie de faire plaisir. Puis cela permet d’oublier ses propres contrariétés, tracas de la vie. On va sécréter plus de sérotonine et ressentir moins de stress. Enfin, la bonne action contribue à développer de saines relations sociales. Partager des ondes positives, une bonne action simple et qui contribue à rendre le monde meilleur !
* Offrir du bien-être aux autres : Souhaiter le bonheur des autres en dit long sur notre coeur. Parce que ceux qui fêtent les joies des autres avec authenticité ne ressentent pas l'envie ni les frustrations ou l'égoïsme. Désirer le bonheur à n'importe qui, cela agit sur notre santé. Souhaiter le bonheur des autres ne coûte rien et en dit long sur nous. De plus, ce genre d’approche personnelle et de désir authentique influence notre bien-être. Le simple fait de projeter sur les autres un désir exprimé de bien-être et de positivité influence le bien-être. L’esprit réduit le fardeau des soucis et des pensées obsessionnelles. Le calme intérieur et le fait de se concentrer sur un sentiment d’affection, généraient confort et satisfaction. Accepter que chacun est comme il est et lui souhaiter d’être aussi heureux que possible dans la mesure de ses possibilités, nous libère de poids, assainit notre esprit et évite les hostilités inutiles. Le simple fait de projeter des pensées positives améliore notre chimie cérébrale, change le dialogue interne et nous oblige à faire cet effort mental pour s’ouvrir un peu plus aux autres. Mettons en pratique ce simple conseil de santé et de lien humain.
* Le partage solidaire : Donner est un acte essentiel, une sortie de soi indispensable à notre vie. Que serait la vie sans don ? Celui qui donne, même peu de chose, se préoccupe des besoins de l’autre et place la dignité de la vie de chaque être humain au plus haut niveau. Donner et recevoir, partager, échanger, sont des actes difficiles à vivre que l’on soit du côté de celui qui donne ou de celui qui reçoit.
Le don est un facteur d’équilibre social mais il peut être aussi une humiliation, devenir source de conflit et entraîner de la dépendance s’il y a dette.
L’aumône devient une « manière de parler » et de se reconnaître de la même humanité… La solidarité nous fait quitter la mentalité d’assistance pour entrer dans un esprit de justice, d’équité, de réciprocité, de partenariat et de fraternité. Dans l’acte de solidarité, chacun reçoit et donne à la fois. Le donateur se met en position de recevoir et d’apprendre des autres, il perd peu à peu de sa suffisance de riche. Le geste du don n’est plus un acte condescendant mais il devient un geste d’égal à égal, une solidarité quasi familiale.
le don doit être proportionnel à la demande. Il faut donc entrer en relation et en confiance. Prendre le temps d’une relation vraie… Prendre le temps de connaître l’autre en lui posant la question : qui es-tu ? Donner de l’argent peut devenir une solution de facilité. Parfois, mieux vaudrait parler, donner de bonnes adresses, offrir un réseau de solidarité…
Donner, c’est inventer, le ton juste et trouver le moment opportun. C’est prendre le temps de la rencontre, du dialogue, pour connaître quel est le vrai besoin des personnes. Ce qui les fera le plus grandir. Donner n’est pas une solution durable
Découvrir ainsi le goût de se donner soi-même en se tenant de manière désintéressée aux côtés de celui qui souffre, en donnant maintenant de ses propres forces pour que l’autre puisse vivre et grandir. Finalement, la solidité du lien qui unit les hommes entre eux dans leur vie quotidienne, l’obligation morale qui incite chacun à être responsable de lui-même et des autres, la joie engendrée par l’échange et le partage, le plaisir d’être utile font de la solidarité la manifestation concrète de la fraternité humaine. Il est difficile d’échapper aux exigences de cette fraternité comme il est difficile de vivre sans amour. Cette double exigence donne corps à la notion de solidarité conçue comme acte de raison et comme acte d’amour.